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"Les Quatre Cavaliers de l’obscurantisme. Religions, Etats, ONG et idéologues" !

Disponible en PDF sur demande.

Article mis en ligne le 28 novembre 2020
dernière modification le 4 janvier 2023

Ce recueil paru en livre électronique (mais qui n’est plus distribué) est divisé en trois parties et regroupe plus d’une quarantaine de textes écrits entre 2004 et 2016. Si cela vous intéresse je peux vous l’envoyer en PDF à votre mail.
Il commence par une brochure intitulée « Les quatre cavaliers de l’obscurantisme religieux », soit les religions, les Etats, les ONG et les idéologues théocompatibles (ici incluse en pièce jointe). Face à l’ampleur de leur offensive contre les acquis de la raison et de la science, contre les libertés d’expression et de conscience, il nous faut analyser le contexte politique et intellectuel général dans lequel ces acteurs agissent concomitamment, parfois en symbiose, parfois de façon séparée mais parallèle.
La seconde partie de ce recueil (Religions et politique) évoque les faiblesses des positions défendues dans le mouvement ouvrier, marxiste ou anarchiste sur les religions ; ces textes analysent aussi l’influence, dans le monde militant, d’idéologies profondément conservatrices qui façonnent les débats politiques sur le « croire », le « fait religieux », le « sacré », et autres euphémismes savants.
La troisième partie traite de l’islam et de son impact politique récent, principalement en France, ainsi que de l’inadéquation (voire de la nocivité) des concepts d’« islamophobie », d’« islamogauchisme » et d’« islamofascisme ». Les positions de trois types d’intervenants sont analysés :
• des intellectuels « théophiles » (Saïd Bouamama, Pierre Tevanian, Olivier Esteves, Gilbert Achcar, François Burgat, etc.) ;
• des militants « théocompatibles » (Selma Yacoob, Uri Avnery, Dave Crouch, Houria Bouteldja et ses amis du PIR),
• mais aussi des protagonistes plus inattendus comme Amnesty International ou des libertaires.
Ces individus ou ces groupes ont abandonné le combat pour l’athéisme et une démarche rationaliste et matérialiste ; certains vont jusqu’à vanter les prétendues vertus contestatrices, voire révolutionnaires, des religions, en particulier de l’islam.
Enfin, ce livre s’intéresse à ceux qui, au nom de la défense de la laïcité, tiennent un discours politiquement ambigu (Michel Onfray, Hamid Zanaz, Azar Majedi), discours qui rejoint parfois celui de l’extrême droite (le groupuscule Riposte laïque étant ici pris comme exemple, mais de nombreux intellectuels de gauche tiennent des propos de plus en plus réactionnaires).