L’écologie se soucie du bien-être des animaux et des dégâts présumés que l’industrialisation de l’agriculture peut infliger à la nature, mais elle est indifférente à la surexploitation dans le cadre familial.
(Extrait du livre de Joao Bernardo "Contre l’écologie", recueil d’articles traduits et publiés par Ni patrie ni frontières.)
Les bien-pensants et les beaux-parleurs qui défendent l’écologie et la ruralisation de la société mettent en danger la survie d’une partie de l’humanité sans pour cela aller jusqu’à soutenir les mesures extrêmes prises par les Khmers rouges au Cambodge. Il leur suffit de prôner la réduction drastique de la productivité agricole, qui provoquera nécessairement une crise alimentaire, étant donné les techniques de culture qu’ils veulent appliquer.