Nous n’éprouvons aucune fascination pour l’arrivisme de Nicolas Sarkozy et ses « succès » obtenus à coups de trahisons, de bluff, de coups médiatiques et de mensonges éhontés. Sans compter son copinage avec la bande à Pasqua (responsable des milices gaullistes du SAC et des juteux réseaux de la FrançAfrique), les patrons des médias, les gérants des gros groupes industriels et des banques. Quant à sa « pensée », elle est indigente, faite de bric et de broc, d’emprunts incohérents et de phrases toutes faites dignes de l’Almanach Vermot. Néanmoins, dans le cadre d’un dossier consacré à ce sinistre personnage, il nous faut quand même offrir un minimum d’informations sur l’individu lui-même, données qui permettent de comprendre – en partie – son ascension politique.
Ni patrie ni frontières