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Manolo : Quelques réflexions sur l’œuvre de João Bernardo
Article mis en ligne le 17 janvier 2022

Permettez-moi d’avancer une hypothèse : individu rationnel en diable, artisan patient d’une critique cinglante, implacable et impitoyable de son époque, peut-être João Bernardo lui-même ne s’est-il pas rendu compte de l’ensemble cohérent formé par son œuvre.

En 2015, j’ai décidé d’écrire une recension sur « Labyrinthes du fascisme », de João Bernardo, et publié ma critique sur un blog obscur où je diffuse des textes personnels. Aujourd’hui, alors que sort une nouvelle édition révisée et augmentée de cet ouvrage – censée être la dernière, si tant est qu’il y ait un point final au livre d’une vie – j’ai décidé de divulguer une version augmentée de ma critique pour célébrer la sortie du livre et sortir mon texte des limbes de la Toile.

N’étant pas historien, ni spécialiste du marxisme, du fascisme ou de quoi que ce soit d’autre, j’avais pris la liberté de présenter ce livre par le biais de quelques remarques provocatrices. Ne voyant aucune raison de modifier la méthode, je l’ai maintenue dans son ensemble.